
L'OMS note dans sa constitution la définition de la santé : « un état de complet bien-être physique, mental et social, qui ne consiste pas seulement en l'absence de maladies ou d'infirmité ».
Chez Prevaction, nous sommes très inspirés par cette définition.
Nous la connaissons par cœur.
Ça nous pousse à nous intéresser à tellement de choses ! A tout ce qui touche de près, et même de loin à la santé.
Nous pourrions même vouloir nous occuper de tout ce qui risque de l'altérer.
Mais ça ne pourrait pas marcher, on y laisserait juste la nôtre, de santé.
Surtout, on n'obtiendrait pas de vrais résultats.
Donc on s'est concentré sur ce qui nous tenait le plus à cœur. Les problématiques de santé qui nous paraissaient les plus importantes.
Et on a décidé de passer à l'action.
On a décidé de travailler d'arrache-pied à faire de la prévention.
Faire de la prévention sur des urgences de santé publique. Pour lutter contre les dégâts qu'elles causent dans la société, dans les familles, et dans la vie des gens.
Parce que dans un contexte global qui voit des priorités de santé publique s'aggraver au point de devenir des urgences, il y a trois types d'attitudes à adopter :
- Ne rien faire, regarder ailleurs, faire l'autruche, c'est contraire à notre ADN, on ne veut même pas en parler...
- Poursuivre ce qui est fait et qui ne suffit pas, attendre, rester passif, croire qu'on peut gérer avec les spécialistes trop peu nombreux et déjà très occupés eux-aussi... Et donc continuer de se confronter à des problèmes qui s'aggravent...En ayant en plus, au fond, l'affreux sentiment d'être impuissant à changer les choses.
Ou alors, on se dit qu'il est grand temps de se donner les moyens d'agir et on commence à résoudre les problèmes, en ayant le sentiment bien plus sympa d'avoir enfin vraiment pu jouer son rôle.